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VERONA, 20 DICEMBRE 2024

 

MODÈLE D'ORGANISATION ET DE CONTRÔLE DE L'ACTIVITÉ SPORTIVE POUR LA PROTECTION DES MINEURS ET LA PRÉVENTION DU HARCÈLEMENT, DE LA VIOLENCE DE GENRE ET DE TOUTE AUTRE FORME DE DISCRIMINATION



CODE DE CONDUITE POUR LA PROTECTION DES MINEURS ET POUR LA PRÉVENTION DU HARCÈLEMENT, DE LA VIOLENCE FONDÉE SUR LE SEXE ET DE TOUTE AUTRE CONDITION. DU HARCÈLEMENT, DE LA VIOLENCE FONDÉE SUR LE SEXE ET DE TOUTE AUTRE FORME DE DISCRIMINATION

 

Le présent modèle d'organisation et de contrôle des activités sportives est élaboré par NIKAIA MOTORSPORT SSD A RL (ci-après, la société), conformément à l'article 16, paragraphe 2, du décret législatif n° 39/2021 et sur la base des lignes directrices publiées par ACI sport. Il est valable quatre ans à compter de la date d'approbation et sera mis à jour chaque fois que nécessaire afin d'intégrer les modifications et les ajouts aux principes fondamentaux publiés par le CONI et toute autre disposition publiée par le Conseil national du CONI, ainsi que les recommandations de l'Observatoire permanent des politiques de sauvegarde du CONI. 

 

Article 1 - Objet

 

1. Le présent modèle régit les instruments de prévention et de lutte contre toute forme d'abus, de harcèlement, de violence sexiste ou de discrimination fondée sur l'appartenance ethnique, la religion, les convictions, le handicap, l'âge ou l'orientation sexuelle ou sur les motifs énoncés dans la loi n° 198/2006 relative aux personnes licenciées, en particulier les mineurs, au sein de l'entreprise. 198/2006 sur les personnes licenciées, en particulier les mineurs, au sein de l'entreprise et met en œuvre les dispositions du décret législatif n° 36/2021 et du décret législatif n° 39/2021, ainsi que les dispositions émises par le Conseil national du CONI en la matière et les Principes fondamentaux pour la prévention et la lutte contre l'abus, la violence et la discrimination dictés par l'Observatoire permanent du CONI.

 

2. L'objectif poursuivi est de fournir un guide pour l'élaboration des modèles d'organisation et de contrôle des activités sportives et des codes de conduite pour la protection des mineurs et pour la prévention du harcèlement, de la violence sexiste et de toute autre condition de discrimination prévue par le décret législatif n° 198 du 11 avril 2006 ou pour des raisons d'ethnie, de religion, de croyance, de handicap, d'âge ou d'orientation sexuelle.

 

3. En particulier, le présent modèle constitue l'ensemble des lignes directrices et des principes auxquels la société et tous les employés d'ACI sport sont tenus de se conformer afin de:

 

a) la prévention et le contrôle de tout comportement d'abus, de violence ou de discrimination, sous quelque forme que ce soit, y compris par omission ou commission, par omission et/ou modalité, en personne ou au moyen des technologies de l'information, sur le web et par le biais de messages, de courriels, de réseaux sociaux, de blogs, de la programmation de systèmes d'intelligence artificielle et d'autres technologies de l'information

 

(b) la promotion des droits des personnes licenciées à être traitées avec respect et dignité, et à être protégées contre toute forme d'abus, de violence, d'inégalité entre les sexes ou toute autre forme de discrimination

 

(c) la promotion d'une culture et d'un environnement ouverts à tous, qui assurent la dignité et le respect des droits de toutes les personnes licenciées, en particulier des mineurs, et qui garantissent l'égalité et l'équité, ainsi que la valorisation de la diversité

 

(d) la sensibilisation des personnes licenciées à leurs droits, devoirs, obligations, responsabilités et protections ;

 

e) l'identification et la mise en œuvre par l'entreprise de mesures, de procédures et de politiques de sauvegarde adéquates, conformément aux recommandations du responsable fédéral de la politique de sauvegarde, qui réduisent les risques de comportement préjudiciable aux droits, en particulier en ce qui concerne les licenciements mineurs

 

f) le traitement rapide, efficace et confidentiel des signalements d'abus, de violence et de discrimination et la protection des dénonciateurs ;

 

g) l'information des personnes licenciées, y compris les mineurs, sur les mesures et procédures de prévention et de lutte contre les phénomènes d'abus, de violence et de discrimination et, en particulier, sur les procédures de signalement de ces phénomènes

 

h) la participation de la société et des personnes licenciées aux initiatives organisées par ACI sport dans le cadre des politiques de sauvegarde adoptées

 

i) l'implication proactive de tous ceux qui participent à l'activité sportive, à quelque titre ou fonction que ce soit, dans la mise en œuvre des mesures, procédures et politiques de sauvegarde de la société.

 

Article 2 - Droits et devoirs

 

1. Le droit fondamental des travailleurs licenciés est d'être traités avec respect et dignité, et d'être protégés contre toute forme d'abus, de harcèlement, de violence fondée sur le sexe et toute autre condition de discrimination, prévue par le décret législatif n° 198 du 11 avril 2006, indépendamment de l'ethnie, des convictions personnelles, du handicap, de l'âge, de l'identité de genre, de l'orientation sexuelle, de la langue, de l'opinion politique, de la religion, de la situation financière, de la naissance, de la condition physique, intellectuelle, relationnelle ou sportive. Le droit à la santé et au bien-être psychophysique des personnes licenciées constitue une valeur absolument primordiale, même en ce qui concerne le résultat sportif. Toute personne qui participe à quelque titre que ce soit à une activité sportive est tenue de respecter les droits susmentionnés des licenciés.

 

2. La Société adopte des mesures pour assurer l'effectivité des droits visés au paragraphe précédent et des protections y afférentes, en particulier en ce qui concerne la protection des mineurs. Elle adopte également toutes les mesures nécessaires pour favoriser le plein développement physique, émotionnel, intellectuel et social de l'athlète, sa participation effective à l'activité sportive ainsi que la pleine conscience de tous les licenciés quant à leurs droits, devoirs, obligations, responsabilités et protections.

 

Article 3 - Durée du contrat

 

1. Le présent modèle est valable pour une durée de quatre ans.

 

2. La Société le révise ou le met à jour chaque fois que nécessaire afin d'y incorporer les modifications et/ou ajouts apportés aux Principes fondamentaux et aux recommandations de l'Observatoire permanent du CONI, ainsi que les modifications et ajouts prévus par les règlements et/ou émis par le Conseil des Principes fondamentaux du CONI.

 

Article 4 - Destinataires

 

1. Le présent modèle s'applique à tous les employés qui exercent des activités sportives au sein de la société, ainsi qu'à tous ceux qui ont une relation de travail ou de volontariat avec elle.

 

Article 5 - Principes fondamentaux et délits d'abus, de violence et de discrimination

 

1. Les comportements suivants sont considérés comme relevant du présent modèle

 

a) la violence psychologique

 

b) les violences physiques

 

c) le harcèlement sexuel

 

d) les abus sexuels

 

e) la négligence

 

(f) la négligence ;

 

(g) les abus religieux ;

 

(h) les brimades et les cyberbrimades :

 

(i) les comportements discriminatoires.

 

2. Aux fins du paragraphe précédent:

 

(a) par « violence psychologique », tout acte non désiré, y compris le manque de respect, l'enfermement, l'accablement, l'isolement ou tout autre traitement susceptible d'affecter le sentiment d'identité, de dignité et d'estime de soi, ou susceptible d'intimider, de perturber ou d'altérer la sérénité de la personne licenciée, même s'il est perpétré par l'utilisation de moyens numériques ;

 

(b) « violences physiques » : tout comportement, commis ou tenté (y compris les coups, les coups de poing, les coups, l'étouffement, les gifles, les coups de pied ou les jets d'objets), qui est susceptible, dans un sens réel ou potentiel, de causer directement ou indirectement des dommages à la santé, des traumatismes, des blessures physiques ou qui altère le développement psychophysique de l'enfant au point de mettre en péril sa croissance saine et sereine. Ces actes peuvent également consister à inciter une personne licenciée à pratiquer (dans le but d'améliorer ses performances sportives) une activité physique inappropriée, telle que l'administration de charges d'entraînement inappropriées en fonction de l'âge, du sexe, de la structure et de la capacité physique ou le fait de forcer des conducteurs malades, blessés ou souffrants à s'entraîner, ainsi que l'utilisation inappropriée, excessive, illégale ou arbitraire de l'équipement sportif. Cela inclut également les comportements qui encouragent la consommation d'alcool, de substances qui sont en tout état de cause interdites par la loi ou les pratiques de dopage ;

 

(c) « harcèlement sexuel » : tout acte ou comportement importun et malvenu à connotation sexuelle, qu'il soit verbal, non verbal ou physique, qui entraîne une gêne, un désagrément ou une perturbation graves. Ces actes ou comportements peuvent également consister en l'utilisation d'un langage corporel inapproprié, en des remarques ou des insinuations sexuellement explicites, ainsi qu'en des demandes non désirées ou importunes de nature sexuelle, ou en des appels téléphoniques, des messages, des lettres ou toute autre forme de communication de nature sexuelle, y compris ceux qui ont un effet intimidant, dégradant ou humiliant

 

(d) « abus sexuel » : toute conduite ou tout comportement à connotation sexuelle, sans contact, ou avec contact et considéré comme non désiré, ou dont le consentement est contraint, manipulé, non donné ou refusé. Il peut également s'agir de forcer une personne licenciée à adopter un comportement sexuel inapproprié ou non désiré, ou de l'observer dans des conditions et des contextes inappropriés ;

 

(e) « négligence » : l'absence d'action d'un cadre, d'un technicien ou de toute personne licenciée, même en raison des obligations découlant de son rôle, qui, après avoir pris connaissance de l'un des événements, comportements ou actes visés dans le présent modèle, n'agit pas en causant un préjudice, en permettant qu'un préjudice soit causé ou en créant un risque imminent de préjudice. Il peut également s'agir d'un mépris ou d'une négligence persistante et systématique des besoins physiques et/ou psychologiques de la personne licenciée ;

 

(f) « négligence » : le fait de ne pas répondre aux besoins physiques, médicaux, éducatifs et émotionnels fondamentaux ;

 

(g) « abus religieux » : le fait d'entraver, de conditionner ou de restreindre le droit de professer librement sa foi religieuse et de pratiquer son culte en privé ou en public, pour autant que cela ne soit pas contraire aux bonnes mœurs

 

h) « brimades, cyberbrimades » : tout comportement offensant et/ou agressif qu'un ou plusieurs individus peuvent adopter, personnellement, par le biais de réseaux sociaux ou d'autres outils de communication, soit de manière isolée, soit de manière répétée dans le temps, à l'encontre d'une ou de plusieurs personnes licenciées dans le but d'exercer un pouvoir ou une domination sur la personne licenciée. Il peut également consister en des tergiversations et des comportements abusifs répétés visant à intimider ou à perturber une personne licenciée et aboutissant à une situation de malaise, d'insécurité, de peur, d'exclusion ou d'isolement (y compris l'humiliation, les critiques concernant l'apparence physique, les menaces verbales, y compris en rapport avec les performances sportives, la diffusion de nouvelles non fondées, les menaces de répercussions physiques ou de dommages à des objets appartenant à la victime).

 

(i) « comportement discriminatoire », tout comportement visant à produire un effet discriminatoire fondé sur l'appartenance ethnique, la couleur, les caractéristiques physiques, le sexe, le statut socio-économique, les performances et le comportement sportifs, la religion, les convictions, le handicap, l'âge ou l'orientation sexuelle.

 

Article 6 - Mesures et procédures de sauvegarde

 

1. Outre le respect des principes susmentionnés, l'entreprise adopte les mesures préventives suivantes et s'engage à

 

a) vérifier le casier judiciaire et les charges en cours des instructeurs, techniciens, employés, médecins et autres personnes en contact avec les conducteurs ;

 

b) contrôler la conduite des techniciens et de tout le personnel, y compris le personnel médical, en contact avec les conducteurs lors des compétitions et des entraînements, en se référant spécifiquement, par exemple, à la séparation des vestiaires entre les techniciens et les conducteurs, à la conduite des examens médicaux et aux séances d'entraînement individuelles

 

c) mise en place de politiques de prévention spécifiques lors des transferts en Italie et à l'étranger en ce qui concerne les relations entre les techniciens et le personnel, y compris le personnel médical, et les pilotes, par exemple en ce qui concerne l'hébergement à l'hôtel, les transferts d'équipe et, en général, les relations entre les pilotes et les techniciens en dehors de l'entraînement et des courses individuelles

 

d) la mise en place de politiques de prévention spécifiques pour les conducteurs mineurs, tant pendant les déplacements que pendant les entraînements et les compétitions, qui requièrent toujours l'accord des parents ;

 

e) l'interdiction pour les instructeurs et le personnel d'organiser des séances d'entraînement individuelles ou en dehors des jours et heures prévus. Lorsque l'entraînement individuel est nécessaire à la préparation du conducteur, il doit être effectué en présence d'au moins deux instructeurs et, dans le cas des conducteurs mineurs, en présence d'au moins un de leurs parents ou avec l'autorisation de ces derniers ;

 

f) il est interdit aux instructeurs et au personnel en formation et à l'extérieur de partager les salles de bains, les vestiaires, les chambres et autres espaces communs avec les conducteurs, sauf accord avec les parents dans le cas de conducteurs mineurs

 

g) l'adoption d'un protocole de comportement, éventuellement dans le cadre du code d'éthique à adopter, pour les conducteurs adultes et mineurs, concernant le respect des principes fondamentaux de non-discrimination et de non-violence pendant les séances d'entraînement, le partage des espaces communs tels que les vestiaires et dans les relations générales avec les conducteurs de sa propre équipe et d'autres équipes.

 

h) adopter un protocole de comportement, éventuellement dans le cadre du code d'éthique à adopter, pour les instructeurs et le personnel technique concernant les méthodes de formation qui ne doivent jamais donner lieu à des actes de violence et de discrimination à l'encontre des chefs d'orchestre

 

i) évaluer annuellement les mesures visées dans le présent modèle adoptées par l'entreprise, éventuellement élaborer et mettre en œuvre un plan d'action sur la base de cette évaluation afin de résoudre les problèmes critiques rencontrés.

 

Article 7 - Formation des travailleurs, des collaborateurs et des bénévoles

 

1.           L'Entreprise peut organiser des programmes de formation visant à faire connaître à ses associés et employés, dont elle a la gestion ou la responsabilité, les principes fondamentaux à respecter et les politiques de prévention adoptées, également dans le respect des dispositions des Principes fondamentaux pour la prévention et la lutte contre les phénomènes d'abus, de violence et de discrimination émis par l'Observatoire Permanent des Politiques de Sauvegarde du CONI.

 

2.           Toutes les personnes mentionnées dans la période précédente sont tenues d'assister aux réunions de formation organisées par l'entreprise et aux éventuels cours de recyclage annuels dispensés par l'ACI en matière de protection, avec l'obligation de justifier toute absence.

 

3.           Les sujets suivants font l'objet d'une formation : les droits et les devoirs des athlètes et des instructeurs ; les relations avec les athlètes, en particulier s'ils sont mineurs ; les signes de reconnaissance des situations d'abus ou de difficultés psychologiques dont les athlètes peuvent être victimes.

 

Article 8 - Accès et utilisation des locaux

 

1. L'accès aux installations (pistes de course, circuits routiers, pistes de karting intérieures et extérieures, salles avec installation de pistes pour Slot Cars, salles de réunion pour les réunions organisées par la Société, etc., même si la Société n'en est pas propriétaire) pendant les séances d'entraînement et de pratique des licenciés mineurs est toujours garanti aux personnes exerçant l'autorité parentale ou aux personnes chargées de s'occuper des athlètes ou à leurs délégués.

 

2. Pendant les séances d'entraînement, seuls les athlètes de la Société ont accès aux vestiaires.

 

3. Les entraîneurs ne peuvent pénétrer dans les vestiaires réservés aux athlètes que pour des raisons strictement liées à la pratique sportive.

 

4. Des vestiaires séparés pour les athlètes de sexe différent sont garantis lors des entraînements mixtes.

 

5. Pendant les séances d'entraînement, l'accès aux vestiaires est interdit aux personnes extérieures ou aux parents/soignants, sauf autorisation d'un entraîneur ou d'un dirigeant et, dans tous les cas, uniquement pour aider éventuellement les membres masculins et féminins mineurs ou souffrant d'un handicap moteur ou intellectuel/relationnel.

 

6. Pendant les séances d'entraînement ou de pratique, les athlètes et les entraîneurs disposent de vestiaires séparés et autonomes.

 

7. En cas de nécessité, sans préjudice de l'alerte en temps utile du service d'urgence médicale si nécessaire, l'accès à l'infirmerie est autorisé au médecin de l'entreprise ou, en cas de manifestation sportive, au médecin de la compétition ou, en leur absence, à un technicien formé aux gestes de premiers secours, exclusivement pour les gestes strictement nécessaires aux premiers soins de la personne blessée. La porte doit rester ouverte et, si possible, au moins une autre personne (athlète, entraîneur, officiel, assistant, etc.) doit être présente.

 

Article 9 - Transfert

 

1.                     Dans le cas de transferts comportant une nuitée, les athlètes doivent se voir attribuer des chambres, éventuellement partagées, avec des athlètes du même sexe, autres que celles dans lesquelles seront logés les entraîneurs, dirigeants ou autres accompagnateurs, sauf en cas de parenté proche entre l'athlète et l'accompagnateur.

 

2.           Lors des transferts de toute nature, il est du devoir des accompagnateurs de surveiller les athlètes accompagnés, en particulier s'ils sont mineurs, en prenant toutes les mesures nécessaires pour garantir leur intégrité physique et morale et pour éviter tout comportement relevant de ce modèle.

 

3.           Lors des transferts auxquels participent des athlètes masculins et féminins, la répartition des chambres en fonction du sexe est garantie et les accompagnateurs sont tenus de veiller à ce que la répartition des chambres soit respectée.

 

Article 10 - Soutien psychologique et psychothérapeutique

 

1.           La Société garantit, en cas de nécessité manifeste, la planification et la programmation de réunions de groupe avec des psychologues ou des psychothérapeutes pour les athlètes et pour tous les travailleurs, collaborateurs et bénévoles qui, à quelque titre et rôle que ce soit, sont impliqués dans des activités sportives et sont en contact avec des athlètes.

 

2.           En alternative ou en complément des séances de groupe, la Société met à la disposition des athlètes et de tous les travailleurs visés au paragraphe précédent les contacts d'un professionnel pour recevoir une assistance psychologique ou psychothérapeutique, dans le respect du principe de confidentialité.

 

3.           La société garantit, en cas de nécessité manifeste, l'organisation et la planification de réunions avec des professionnels (psychologues et/ou psychothérapeutes) sur le thème des troubles alimentaires chez les sportifs, y compris sur la base d'accords spécifiques stipulés par l'AIC.

 

Article 11 - Obligation d'intervention et de signalement

 

1.           Les entraîneurs, techniciens, employés, médecins du sport et professionnels de la santé qui constatent des signes et/ou des indicateurs de blessure, de violence et/ou d'abus doivent activer sans délai la procédure de signalement visée à l'article 13 du présent modèle, en informant le responsable des abus, de la violence et de la discrimination visé à l'article 12 et le responsable fédéral des politiques de sauvegarde.

 

2.           Lors des séances de dialogue et de confrontation entre les personnes impliquées dans l'activité sportive à divers titres, il est possible de discuter des événements et/ou des dynamiques susceptibles de nuire à la santé physique et psychologique des athlètes afin d'identifier des solutions communes.

 

3.           Chacun des sujets mentionnés au premier alinéa du présent article peut prendre l'initiative de demander l'organisation d'une réunion avec les acteurs de l'activité sportive et d'identifier l'objet de la discussion.

 

Article 12 - Relations entre les personnes impliquées dans le sport

 

1.           La Société favorise les relations et la confrontation entre les athlètes, les entraîneurs, le personnel d'encadrement, les personnes exerçant la responsabilité parentale ou celles qui s'occupent de mineurs, en organisant également des réunions périodiques afin d'établir des relations de collaboration dans le respect des droits et de la dignité des sujets concernés.

 

Article 13 - Traitement des données à caractère personnel

 

1.           Tous les athlètes (ou exerçant la responsabilité parentale), entraîneurs, dirigeants, employés et membres de l'Association lors de leur inscription/adhésion, et en tout état de cause chaque fois que des données personnelles sont collectées, doivent recevoir les informations sur le traitement des données personnelles conformément à l'article 13 du règlement UE n° 679/2016 (GDPR).

 

2.           Les données à caractère personnel collectées sont gérées et traitées conformément aux principes de légalité, d'équité, de transparence, de limitation des finalités, de minimisation, d'exactitude, de limitation du stockage, d'intégrité et de confidentialité.

 

3.           En particulier, des catégories particulières de données à caractère personnel (telles que l'origine raciale ou ethnique, les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques, ou l'appartenance syndicale, ainsi que les données génétiques, les données biométriques destinées à identifier une personne physique de manière unique, les données relatives à la santé ou à la vie sexuelle ou à l'orientation sexuelle d'une personne) ne peuvent être traitées qu'avec le consentement libre et explicite de la personne concernée, donné par écrit, sauf dans les cas de respect d'obligations légales et réglementaires.

 

4.           L'Association, sans préjudice du consentement préalable obtenu au moment de l'inscription/de l'adhésion, peut publier sur ses canaux de communication des photographies de ses membres prises lors des séances d'entraînement et de compétition, mais la production et la publication d'images susceptibles d'entraîner une gêne ou un danger pour les membres ne sont pas autorisées.

 

5.           La documentation, sous forme papier ou numérique, collectée par l'association et contenant des données personnelles de ses membres, de ses fournisseurs ou de toute autre personne, doit être conservée en toute sécurité en garantissant l'inaccessibilité aux personnes non autorisées à traiter les données.

 

6.           Toutes les personnes autorisées à traiter des données à caractère personnel reçoivent une formation adéquate et mettent en œuvre tous les comportements et procédures nécessaires à la protection des données à caractère personnel des personnes concernées, en particulier celles qui relèvent de catégories particulières de données à caractère personnel.

 

7.           Toute demande d'exercice des droits d'accès, d'effacement, de rectification, d'intégration et de signalement d'éventuelles violations de la sécurité des données à caractère personnel par la personne concernée peut être envoyée à l'adresse électronique safeguarding@nikaiamotorsport.com .

 

Article 14 - Nomination du délégué aux abus, à la violence et à la discrimination

 

1. Afin de prévenir et de combattre tout type d'abus, de violence et de discrimination à l'encontre des conducteurs licenciés et de garantir la protection de l'intégrité physique et morale des sportifs, conformément à l'article 33, paragraphe 6, du décret législatif n° 36/2021, la Société désigne une personne chargée de lutter contre les abus, la violence et la discrimination et en informe l'ACI Sport lors de la demande ou du renouvellement de la licence.

 

2. La désignation du responsable visé au paragraphe 1 sera immédiatement publiée sur la page d'accueil de la Société et, dans tous les cas, communiquée aux membres et aux sujets dont la gestion/représentation sportive lui est confiée, ainsi que communiquée au responsable fédéral de la politique de sauvegarde.

 

3. Le responsable de la lutte contre les abus, la violence et la discrimination est nommé par le conseil d'administration de la Société parmi les personnes dont la moralité et la compétence sont avérées et qui remplissent les conditions suivantes

 

a. être titulaire d'une licence sportive ACI en bonne et due forme

 

b. posséder la nationalité italienne

 

c. être en possession d'un diplôme d'études secondaires au moins

 

d. ne pas avoir fait l'objet d'une condamnation pénale pour des faits non délictueux pour lesquels une peine définitive de plus d'un an d'emprisonnement a été prononcée, ni d'une interdiction d'exercer une fonction publique pendant plus d'un an

 

e. ne pas avoir été disqualifié, déchu ou interdit d'activités sportives pour une durée totale de plus d'un an par la FSN, l'ASD, l'EPS, le CONI ou des organismes sportifs internationaux reconnus au cours des dix dernières années, à moins qu'il n'ait été réhabilité

 

f. présenter le certificat visé à l'article 2 du décret législatif 39/2014

 

g. être en mesure d'utiliser les outils informatiques de base, y compris le courrier électronique, la navigation sur Internet et les réseaux sociaux

 

h. ne pas avoir de lien de parenté ou d'amitié, jusqu'au troisième degré, avec un membre du conseil d'administration ou du comité technique de la société et, en tout état de cause, ne pas exercer de fonctions de direction au sein de ces derniers.

 

4. Le mandat du directeur est de quatre ans, coïncidant avec la période olympique de quatre ans, et peut être renouvelé. La possession des conditions visées au paragraphe précédent est requise pour toute la durée du mandat.

 

5. En cas de cessation des fonctions du responsable de la lutte contre les abus, la violence et la discrimination, à la suite d'une démission ou pour toute autre raison, l'entreprise nomme un nouveau responsable dans un délai de 30 jours.

 

6. La nomination du responsable de la protection contre les abus, la violence et la discrimination peut être révoquée avant même l'expiration de son mandat pour de graves irrégularités de gestion ou de fonctionnement, par décision motivée de l'organe désigné par la société. La révocation et ses motifs sont notifiés sans délai au responsable du contrôle de sécurité de l'ACI Sport. La Société pourvoit au remplacement selon les modalités précisées au paragraphe précédent.

 

7. Le responsable:

 

a) contrôle l'application correcte du règlement relatif à la prévention et à la lutte contre les abus, la violence et la discrimination à l'égard des employés de l'ACI Sport au sein de la Société, ainsi que l'application correcte et la mise à jour du présent modèle ;

 

b) adopte les initiatives appropriées, y compris dans l'urgence (réponse dite rapide), pour prévenir et contrer au sein de la Société toute forme d'abus, de violence et de discrimination, ainsi que toute initiative de sensibilisation qu'il juge utile et appropriée

 

c) signaler au délégué fédéral à la protection des données tout comportement pertinent et lui fournir toute information ou documentation demandée ;

 

d) formuler à l'organe responsable des propositions de mise à jour des modèles d'organisation et de contrôle de l'activité sportive et des codes de conduite, en tenant compte des caractéristiques de la société ;

 

e) évaluer annuellement les mesures des modèles d'organisation et de contrôle de l'activité sportive et des codes de conduite au sein de son propre club, en élaborant et en mettant éventuellement en œuvre, sur la base de cette évaluation, un plan d'action visant à résoudre les problèmes détectés

 

f) participer aux activités de formation organisées par l'ACI Sport.

 

Article 15 - Signalement des comportements pertinents 

 

1.           Des signalements peuvent être effectués, également de manière anonyme

  • oralement, en s'adressant au responsable des abus, de la violence et de la discrimination ;
  • en envoyant un courrier électronique à safeguarding@nikaiamotorsport.com ;
  • en transmettant une lettre recommandée à Nikaia Motorsport SSD a RL Via Caprera, 1 - 37126 Verona ;
  • de manière anonyme (précision supplémentaire possible, par exemple par écrit en envoyant une lettre recommandée ou en utilisant des boîtes spéciales).

2.           En cas de signalement impliquant un mineur en tant que victime présumée, les parents ou le tuteur légal du mineur doivent être rapidement informés, à condition que cela ne soit pas considéré comme un risque pour la sécurité du mineur.

 

3.           L'entreprise protège toutes les personnes qui, de bonne foi, ont fait un signalement, y compris :

 

i. a déposé une plainte ou un signalement

 

ii. exprimé l'intention de déposer une plainte ou un signalement ;

 

iii. aidé ou soutenu un autre membre dans le dépôt d'une plainte ou d'un signalement ;

 

iv. témoigné ou entendu dans le cadre d'une procédure concernant un abus, une violence ou une discrimination ;

 

v. pris toute autre action ou initiative relative ou inhérente aux politiques de sauvegarde.

 

Article 16 - Traitement du rapport

 

1.           La procédure de signalement comprend les étapes suivantes

 

a. le signalement

 

b. inscription du signalement dans un registre spécial, également sous forme électronique, tenu par le responsable de la protection contre les abus, la violence et la discrimination ;

 

c. l'examen du signalement

 

d. toute mesure immédiate, provisoire et préventive à prendre à l'encontre du signalant et de la personne signalée, si le signalement semble raisonnablement fondé, comme indiqué au paragraphe 4 ci-dessous ;

 

e. la clôture du rapport et la communication des conclusions à l'entreprise et, si les conditions sont remplies, aux organes de justice sportive.

 

2.           Après avoir reçu le rapport, le responsable de la lutte contre les abus, la violence et la discrimination est appelé à vérifier la véracité des faits rapportés par l'auteur du rapport et à écouter toutes les parties concernées, en rédigeant un rapport approprié.

 

3.           Lorsque les conditions sont remplies, le responsable Abus, Violence et Discrimination doit également communiquer le rapport au responsable fédéral de la politique de sauvegarde, ainsi qu'aux instances de justice sportive.

 

4.           Dans les cas où des incidents extrêmement graves ont été signalés et qu'ils sont clairement étayés, le responsable Abus, violence et discrimination peut prendre des mesures de précaution à caractère suspensif, conformément au principe de proportionnalité.

 

5.           La procédure de signalement est publiée sur le site web de la Société afin que les joueurs licenciés, les entraîneurs et toutes les autres personnes travaillant en contact étroit avec les athlètes en aient pleinement connaissance.

 

Article 17 - Sanctions applicables

 

1.           La procédure prévue par le règlement de l'ACI pour les infractions disciplinaires s'applique en cas de comportement abusif, discriminatoire et/ou violent au détriment des athlètes ou des travailleurs et collaborateurs, en informant le parquet fédéral le cas échéant.

 

2.           En cas de constatation d'infractions disciplinaires, les sanctions prévues par le règlement sportif de l'ACI seront imposées, ainsi que les mesures intra-associatives prévues par les statuts de la société, conformément au principe de proportionnalité.

 

3.           Sont également sanctionnés ceux qui ont volontairement fait un rapport en connaissance de la fausseté de celui-ci et dans le but de nuire à autrui.

 

Article 18 - Traitement des données personnelles du déclarant

 

1.           La Société garantit la confidentialité de l'identité du déclarant et du contenu du rapport lui-même, conformément aux principes décrits dans le règlement de l'UE n° 679/2016 (GDPR) et le décret législatif n° 196/2003.

 

2.           Les données à caractère personnel contenues dans le rapport seront conservées pendant une période maximale de cinq ans à compter de la conclusion de la procédure visant à vérifier la véracité du rapport. Passé ce délai, les données sont effacées ou rendues anonymes.

 

Article 19 - Dispositions finales

 

1.         Le présent modèle sera mis à jour par l'organe directeur de la société au moins tous les quatre ans et chaque fois que cela s'avérera nécessaire afin d'intégrer les nouvelles dispositions émises par le Conseil national du CONI, les modifications et compléments apportés aux principes fondamentaux approuvés par l'Observatoire permanent des politiques de sauvegarde du CONI ou ses recommandations, ainsi que les modifications et compléments apportés aux dispositions de l'ACI Sport.

 

2.         Toute proposition de modification du présent modèle doit être soumise et approuvée par l'organe désigné de la Société.

 

3.       Pour tout ce qui n'est pas explicitement prévu dans le présent modèle, il est fait référence à la réglementation fédérale en vigueur.

 

4.          Le présent modèle, approuvé par l'organe directeur, entre en vigueur le jour suivant sa publication.

 

Premessa

 

 Il presente Codice di condotta è rivolto agli atleti, ai licenziati, agli allenatori, ai dirigenti, ai collaboratori che a qualsiasi titolo, livello e qualifica prestano la propria attività presso la NIKAIA MOTORSPORT SSD A RL (di seguito, la Società).

 

I soggetti sopra indicati hanno l’obbligo di attenersi alle prescrizioni contenute nel Codice di condotta, che accettano integralmente dopo averne preso visione.

 

Il Codice di condotta a tutela dei minori e per la prevenzione delle molestie, della violenza di genere e di ogni altra condizione di discriminazione è parte integrante del Modello organizzativo e controllo delle attività sportive di cui costituisce un imprescindibile allegato.

 

Il Codice di condotta ha validità quadriennale dalla data di approvazione e deve essere aggiornato ogni qual volta necessario al fine di recepire le eventuali modifiche e integrazioni dei Principi Fondamentali emanati dal CONI, le eventuali ulteriori disposizioni emanate dalla Giunta Nazionale del CONI, e le raccomandazioni dell’Osservatorio Permanente del CONI per le Politiche di Safeguarding, nonché le eventuali integrazioni delle Linee Guida adottate dall’ACI.

 

Il presente Codice di condotta è pubblicato sul sito internet della Società, nonché comunicato al Responsabile delle politiche di Safeguarding istituito presso l’ACI in modo tale da garantirne la conoscibilità da parte di tutti i tesserati.

 

Articolo 1 - Finalità 

 

Articolo 2 - Doveri e obblighi dei licenziati 

 

1.     I soggetti di cui all’art. 4 devono:

 

a)     comportarsi secondo lealtà, probità e correttezza nello svolgimento di ogni attività connessa o collegata all’ambito sportivo e tenere una condotta improntate al rispetto nei confronti degli altri licenziati;

 

b)   astenersi dall’utilizzo di un linguaggio, anche corporeo, inappropriato o allusivo, anche in situazioni ludiche, per gioco o per scherzo;

 

c)     garantire la sicurezza e la salute degli altri licenziati, impegnandosi a creare e a mantenere un ambiente sano, sicuro e inclusivo;

 

d)   impegnarsi nell’educazione e nella formazione della pratica sportiva sana, supportando gli altri licenziati nei percorsi educativi e formativi;

 

e)     impegnarsi a creare, mantenere e promuovere un equilibrio sano tra ambito personale e sportivo, valorizzando anche i profili ludici, relazionali e sociali dell’attività sportiva;

 

f)     instaurare un rapporto equilibrato con coloro che esercitano la responsabilità genitoriale o i soggetti cui è affidata la cura dei conduttori ovvero loro delegati;

 

g)   prevenire e disincentivare dispute, contrasti e dissidi anche mediante l’utilizzo di una comunicazione sana, efficace e costruttiva;

 

h)   affrontare in modo proattivo comportamenti offensivi, manipolativi, minacciosi o aggressivi;

 

i)     collaborare con gli altri licenziati nella prevenzione, nel contrasto e nella repressione di abusi, violenze e discriminazioni (individuali o collettivi);

 

j)       segnalare senza indugio al Responsabile di cui all’art. 14 del Modello organizzativo situazioni, anche potenziali, che espongano sé o altri a pregiudizio, pericolo, timore o disagio.

 

Articolo 3 - Doveri e obblighi dei dirigenti sportivi e tecnici 

a)     agire per prevenire e contrastare ogni forma di abuso, violenza e discriminazione;

 

b)   astenersi da qualsiasi abuso o uso improprio della propria posizione di fiducia, potere o influenza nei confronti dei licenziati, specie se minori;

 

c)     contribuire alla formazione e alla crescita armonica dei licenziati, in particolare se minori;

 

d)   evitare ogni contatto fisico non necessario con i licenziati, in particolare se minori;

 

e)     promuovere un rapporto tra licenziati improntato al rispetto e alla collaborazione, prevenendo situazioni disfunzionali, che creino, anche mediante manipolazione, uno stato di soggezione, pericolo o timore;

 

f)     astenersi dal creare situazioni di intimità con il licenziato minore;

 

g)   porre in essere, in occasione delle trasferte, soluzioni logistiche atte a prevenire situazioni di disagio e/o comportamenti inappropriati, coinvolgendo nelle scelte coloro che esercitano la responsabilità genitoriale o i soggetti cui è affidata la loro cura ovvero loro delegati;

 

h)   comunicare e condividere con il licenziato minore gli obiettivi educativi e formativi, illustrando le modalità con cui si intendono perseguire tali obiettivi e coinvolgendo nelle scelte coloro che esercitano la responsabilità genitoriale o i soggetti cui è affidata la loro cura ovvero loro delegati;

 

i)     astenersi da comunicazioni e contatti di natura intima con il licenziato minore, anche mediante social network;

 

j)       interrompere senza indugio ogni contatto con il licenziato minore qualora si riscontrino situazioni di ansia, timore o disagio derivanti dalla propria condotta, attivando il Responsabile di cui all’art. 14 del Modello organizzativo;

 

k)   impiegare le necessarie competenze professionali nell’eventuale programmazione e/o gestione di regimi alimentari in ambito sportivo;

 

l)     segnalare tempestivamente eventuali indicatori di disturbi alimentari dei conduttori loro affidati;

 

m) dichiarare cause di incompatibilità e conflitti di interesse;

 

n)   sostenere i valori del sport, altresì educando al ripudio di sostanze o metodi vietati per alterare le prestazioni sportive del licenziato;

 

o)   conoscere, informarsi e aggiornarsi con continuità sulle politiche di safeguarding, sulle misure di prevenzione e contrasto agli abusi, violenze e discriminazioni, nonché sulle più moderne metodologie di formazione e comunicazione in ambito sportivo;

 

p)   astenersi dall’utilizzo, dalla riproduzione e dalla diffusione di immagini o video dei licenziati minori, se non per finalità educative e formative, acquisendo le necessarie autorizzazioni da coloro che esercitano la responsabilità genitoriale o dai soggetti cui è affidata la loro cura ovvero da loro delegati;

 

q)   segnalare senza indugio al Responsabile di cui all’art. 14 del Modello organizzativo situazioni, anche potenziali, che espongano i licenziati a pregiudizio, pericolo, timore o disagio

 

Articolo 4 - Diritti, doveri e obblighi dei conduttori 

a)     rispettare il principio di solidarietà tra conduttori, favorendo assistenza e sostegno reciproco;

 

b)   comunicare le proprie aspirazioni ai dirigenti sportivi e ai tecnici e valutare in spirito di collaborazione le proposte circa gli obiettivi educativi e formativi e le modalità di raggiungimento di tali obiettivi, anche con il supporto di coloro che esercitano la responsabilità genitoriale o dei soggetti cui è affidata la loro cura, eventualmente confrontandosi con gli altri conduttori;

 

c)     comunicare a dirigenti sportivi e tecnici situazioni di ansia, timore o disagio che riguardino sé o altri;

 

d)   prevenire, evitare e segnalare situazioni disfunzionali che creino, anche mediante manipolazione, uno stato di soggezione, pericolo o timore negli altri conduttori;

 

e)     rispettare e tutelare la dignità, la salute e il benessere degli altri conduttori e, più in generale, di tutti i soggetti coinvolti nelle attività sportive;

 

f)     rispettare la funzione educativa e formativa dei dirigenti sportivi e dei tecnici;

 

g)   mantenere rapporti improntati al rispetto con gli altri conduttori e con ogni soggetto comunque coinvolto nelle attività sportive;

 

h)   riferire qualsiasi infortunio o incidente agli esercenti la responsabilità genitoriale o ai soggetti cui è affidata la cura dei conduttori ovvero ai loro delegati;

 

i)     evitare contatti e situazioni di intimità con dirigenti sportivi e tecnici, anche in occasione di trasferte, segnalando eventuali comportamenti inopportuni;

 

j)       astenersi dal diffondere materiale fotografico e video di natura privata o intima ricevuto, segnalando comportamenti difformi a coloro che esercitano la responsabilità genitoriale o ai soggetti cui è affidata la loro cura ovvero ai loro delegati, nonché al Responsabile di cui all’art. 14 del Modello organizzativo;

 

k)   segnalare senza indugio al Responsabile di cui all’art. 14 del Modello organizzativo situazioni, anche potenziali, che espongano sé o altri a pericolo o pregiudizio.

 

Articolo 5 - Tutele e sanzioni disciplinari 

 

Articolo 6 - Selezione dei collaboratori 

 

Articolo 7 - Formazione 

 

I lavoratori, collaboratori e volontari che, a qualsiasi titolo e ruolo, sono coinvolti nell’attività sportiva e sono a contatto con gli atleti devono partecipare ai corsi di formazione previsti dall’art. 5.2 e 5.5. Del Modello organizzativo e controllo dell’attività sportiva.

 

Articolo 8 - Conflitti d’interesse e incompatibilità 

a.     Responsabile delle politiche di Safeguarding (Safeguarding Officer), istituito presso l’ACI;

 

b.     Allenatori, tecnici e tutti coloro che hanno rapporti continuativi con gli atleti;

 

c.     Responsabile contro gli abusi, le violenze e le discriminazioni.

a.     rivelare tempestivamente un interesse personale in qualsiasi situazione che possa ragionevolmente essere considerata coinvolta in un conflitto di interesse;

 

b.     astenersi dal prendere o influenzare decisioni che comportino un guadagno personale o familiare o una vasta popolarità;

 

c.      astenersi dal fornire favori ingiustificati a terze parti o associati o tesserati.

 

5. Sono fatte salve specifiche discipline di incompatibilità e gestione del conflitto di interessi eventualmente previste per Commissari sportivi, tecnici e ufficiali di gara secondo le appendici al RSN.

 

Articolo 9 - Riservatezza e trattamento dei dati personali 

 

1.     La Società garantisce la riservatezza dell’identità del segnalante di violazioni del Codice di Condotta e il contenuto della segnalazione medesima, nel rispetto dei principi descritti dal Regolamento UE n. 679/2016 (GDPR) e dal D.Lgs. n. 196/2003 (Codice in materia di protezione dei dati).

 

  1. Il presente Codice di condotta è finalizzato:

  1. al rispetto dei principi di lealtà, probità e correttezza;
  2. all’educazione, alla formazione e allo svolgimento di una pratica sportiva sana;
  3. alla piena consapevolezza di tutti i licenziati in ordine a propri diritti, doveri, obblighi, responsabilità e tutele;
  4. alla creazione di un ambiente sano, sicuro e inclusivo che garantisca la dignità, l’uguaglianza, l’equità e il rispetto dei diritti dei tesserati, in particolare se minori;
  5. alla valorizzazione delle diversità;
  6. alla promozione del pieno sviluppo della persona-atleta, in particolare se minore;
  7. alla promozione da parte di dirigenti e tecnici al benessere dell’atleta;
  8. alla effettiva partecipazione di tutti i licenziati all’attività sportiva secondo le rispettive aspirazioni, potenzialità, capacità e specificità;
  9. alla prevenzione e al contrasto di ogni forma di abuso, violenza e discriminazione;
  10. alla rimozione degli ostacoli che impediscano la promozione del benessere dell’atleta, in particolare se minore, e dello sviluppo psico-fisico dello stesso secondo le relative aspirazioni, potenzialità, capacità e specificità;
  11. alla rimozione degli ostacoli che impediscano la partecipazione dell’atleta alle attività, indipendentemente da etnia, convinzioni personali, disabilità, età, identità di genere, orientamento sessuale, lingua, opinione politica, religione, condizione patrimoniale, di nascita, fisica, intellettiva, relazionale o sportiva.

  1. I dirigenti sportivi e dei tecnici devono:

  1. I conduttori partecipanti all’attività sportiva devono:

  1. Ogni presunta violazione del Codice di condotta deve essere segnalata e verificata secondo quanto stabilito dal Modello organizzativo e controllo adottato dalla Società.
  2. Nel caso in cui dovessero essere accertate condotte violative del Codice di condotta si applicherebbero le sanzioni previste dall’art. 17 del Modello organizzativo e controllo delle attività sportive, compresa la sospensione cautelare dalle attività sportive.
  3. Laddove ne sussistono i presupposti, verrà tempestivamente informato l’Ufficio della Procura Federale.
  4. Inoltre, per qualsiasi violazione del presente Codice da parte dei soggetti a cui è rivolto, è fatto salvo il diritto e la facoltà della Procura Federale e della stessa Federazione di rimettersi integralmente, per quanto concerne il profilo sanzionatorio dei soggetti sportivi tesserati, alle decisioni degli Organi di Giustizia sportiva competenti.

  1. I lavoratori, collaboratori e volontari che, a qualsiasi titolo e ruolo, sono coinvolti nell’attività sportiva e sono a contatto con gli atleti devono produrre l’intera documentazione richiesta dalla Società prima di poter instaurare con la stessa un rapporto di lavoro o di collaborazione. Il rifiuto di produrre le certificazioni richieste impedisce la nascita del rapporto stesso.
  2. La Società acquisisce il certificato del casellario giudiziario prima di instaurare un rapporto di lavoro o di collaborazione con coloro che sono coinvolti nell’attività sportiva a qualunque titolo.
  3. La Società ha il potere di controllare periodicamente il possesso dei requisiti e delle certificazioni richieste anche durante l’esecuzione del contratto di lavoro o di collaborazione.
  4. È causa ostativa alla conclusione oppure alla prosecuzione del rapporto di lavoro aver ricevuto una condanna penale.

  1. Allo scopo di evitare conflitti di interesse è vietato il cumulo di più funzioni in capo al medesimo soggetto. Sono sempre incompatibili le seguenti funzioni:

  1. I destinatari del presente Codice etico sono tenuti a prevenire situazioni, anche solo apparenti, di conflitto con l’interesse sportivo, in cui possano essere coinvolti interessi personali o di persone ad essi collegate.
  2. Nel caso in cui sussistano gravi ragioni di convenienza e di opportunità, parimenti in ogni altro caso in cui il compimento di un’azione o di un comportamento possa compromettere il rispetto del principio di imparzialità ed indipendenza, è necessario astenersi.
  3. Pertanto, i destinatari del presente Codice devono:

I dati personali contenuti nella segnalazione verranno conservati per un periodo massimo di cinque anni decorrente dalla conclusione del procedimento volto ad accertare la veridicità della segnalazione così come previsto dall’art. 12 del Modello organizzativo e controllo delle attività sportive.

NIKAIA MOTORSPORT SSD A RL

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